celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

mercredi, juillet 25, 2007

Zita Swoon (Rivierenhof, 23/07/07)


L'endroit est parfait. Devant la scène du théâtre de verdure, au milieu des arbres, les fontaines du plan d'eau font office de rideau. Au programme, zita swoon. again and again. Et pourtant toujours imparable. Il faut l'entendre, lui voix rauque corps fluet, elles belles en parfait contrepoint, pendant que le clavier fait des merveilles et charge un peu plus la barque. ça tourbillonne et bientôt tout le monde est debout dans les gradins. C'est simple, beau, classe, chaleureux et sexy, tout ça à la fois.
(parfois c'est vrai, le piano est trop propret, et les choeurs trop tout court, on est à la limite, mais ça passe)

quand je suis reparti, la sono a enchaîné "zobi la mouche", "king kong five" et "the magnificent seven". Plus loin, sur le chemin plongé dans l'obscurité, j'ai senti que je shotais dans quelque chose. Quand je me suis retourné, le crapaud avait valsé quelques mètres plus loin