celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

mercredi, février 09, 2005

dc

Depuis un an, j'ai l'impression de multiplier les funérailles.
jamais tout à fait proches (quoique), mais pas assez loin que pour ne pas être touché.
la mort, je n'arrive pas à prendre ça au second degré, avec un minimum de détachement. je n'ai aucune sérénité par rapport à ça. et avec le temps je crains que cela ne s'arrange pas. une angoisse? évidemment.






je ne connaissais pas vraiment georges, mais j'imagine qu'il a dû être content de voir plusieurs membres de la jeune génération venir lui faire un dernier signe.