celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

lundi, mai 02, 2005

danieldark

L'an dernier est sorti "Crèvecoeur", sublime album de Daniel Darc, que j'écoute encore 12 mois plus tard. Entre-temps, il y a aussi eu un concert bouleversant au Bota.
Samedi, il était invité dans le loft d'"En aparté" , sur Canal +. Il a toujours son blouson en cuir, qui couine dans le micro-cravate. L'air un peu gauche, timide, hypertouchant dans ses faiblesses. Il a volontiers un cheveu sur la langue, une dent en moins, les cheveux qui deviennent plus épars devant. Tout cassé par la vie, le Daniel Darc.
Voûté, il parle d'une voix douce, avant d'avouer que sans le rock, il aurait fini braqueur de banque ou poseur de bombe. "J'aurais pris le maquis".

2 Comments:

At 12:48 PM, Blogger Mr Charlier & Mme Gilles said...

Moi, même avec le rock, je vais finir par poser une bombe ...

 
At 2:17 PM, Blogger cellophane said...

ouh la... pas gentils les petits nenfants à l'école?

 

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