celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

lundi, avril 03, 2006

het schoonste moet altijd nog komen!


dernier numéro des parelvissers, hier soir.

le rideau est tombé, l'énigme résolue. tout cela, en gros, sans grande surprise. c'est souvent comme cela, quand les attentes et les théories sur le dénouement d'une histoire à rebondissements enflent, un peu plus à chaque épisode. (à part un jeu de cache-cache avec les gsm, la tension retombe vite: non, il n'y avait rien à trouver d'autres derrière la disparition de jan de ridder, sinon les éléments dévoilés lors des 5 premiers épisodes).

alors quoi? qu'est-ce qu'il reste après tout ça? rien. juste des cris et des larmes. un naufrage général. shakespearien, fieu. et ça, c'est peut-être plus fort qu'une derrière pirouette scénaristique tirée par les cheveux.

Tom Lenaerts dans le "Nieuwsblad" ce matin: "Al die speculaties over de ontknoping waren amusant, maar ik heb de indruk dat sommige mensen meer naar nummerplaten en gsm-nummers hebben gekeken dan naar relaties tussen mensen"