celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

lundi, septembre 18, 2006

cars

la journée sans voiture. chuis pour, sans blague.

cela dit, qué bordel, buddy.

au départ, c'est ce qui frappe, c'est vrai, c'est le silence.
mais pas très longtemps.
les voitures qui roulent, laisser-passer ou pas, se font injurier; les vélos tracent comme des cons; les gens s'entassent dans des bus, dont on a à peine augmenté la fréquence, et dont un sur deux respecte à la lettre la limitation à 30km/h; sans compter, tout ceux qui chient clairement de ne pouvoir se passer ne serait-ce qu'une dizaine d'heure de leur machine.
tout le monde parle de ça, s'énerve, monte sur ses grands chevaux.

on est loin du trip peace and love, le truc pépère, tranquille, bobo-ecolo paisible.
on peut laisser sa bagnole au garage, pas forcément sa connerie. (oh oh oh, vise-moi cette chute, buddy)

1 Comments:

At 12:50 AM, Blogger Gabbel said...

Aïe ... non, non c'est rien c'est la chute ...
En même temps pourquoi aller en centre ville... à WB au moins tu croises des chevaux et des gens sympas !
Les premiers sont souvent avec les deuxièmes mais peut-être pas inversement...enfin, j'me comprends.

 

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