celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

jeudi, août 17, 2006

one




on a beau se parer de principes, voire de garde-fous, pour éviter la faute de goût, résister à la tentation du facile, du grossier, du vulgaire.

seulement voilà:

- sur la table du salon, à côté du ticket pour le concert de sonic youth, y en a un autre pour celui de cette grande folle de george michael

- je suis interpellé par cette version de "one". c'est un peu gênant, pas très corrects. et pourtant, j'embraie.
est-ce la version en elle-même ou la chanson de départ, qui peut subir tous les outrages, sans perdre de son sublime?
that's the question.

2 Comments:

At 6:44 AM, Blogger Olivier said...

Si tu veux mon avis... C'est la madame qui chante là, qui perturbe gravement ton objectivité.. (bon, sinon, Bonne vacances vieux... (avec les trois monstres?))

 
At 12:24 AM, Blogger Mr Charlier & Mme Gilles said...

Dieu sait comme je n'aime pas le eReNBé, mais je dois avoué que malgré tout j'ai eu mon petit frisson ...

Ca ne peut-être QUE la chanson, de toute manière !

Hasta Luego Muchacho

Kus voor Elio

;o)

 

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