celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

jeudi, juillet 28, 2005

souchonnerie

le bonhomme peut être parfois agaçant, mais tout de même, la façon dont il présente son nouvel album est assez amusante.

«Après mon dernier album je suis parti sur les routes pendant deux ans et demi faisant durer ce plaisir d’exister dans les applaudissements. Puis j’ai flemmardé. Puis j’ai pensé que Françoise Sagan m’avait écrit deux fois et que je ne lui avais pas répondu par timidité ou par flemme. J’avais honte. Je me suis dit qu’une chanson lui ferait plaisir sachant qu’elle aimait ce genre et qu’elle m’aimait bien. Je l’ai donc faite. Une chanson seule ça n’a pas de sens, il fallait qu’elle soit sur un album, alors j’ai commencé d’autres airs et Françoise Sagan est partie. Puis j’ai voulu faire un album concept sur des personnes que j’aime ainsi Théodore Monod. Puis j’ai trouvé que je serais moins bon pour cet exercice que Vincent Delerm. Alors j’ai fait un album normal et maintenant qu’il est fini je déprime un peu mais ça va. »

Alain Souchon

mardi, juillet 26, 2005

occasion

l'autre jour, boulevard lemonnier, chez un disquaire d'occasion.
je vois le cd de m.i.a dans la vitrine. j'hésite: naaaan, surtout ne pas céder à la hype.
j'entre, propose les plaques qui me restaient à revendre. aucune n'intéresse le patron. c'est là que je m'entends dire: "pas grave, je vais vous prendre le m.i.a."
connard.

lundi, juillet 25, 2005

décélération

les festivals sont derrière moi.
les pet shop boys sont toute la semaine à la mer.
décélération progressive avant deux semaines out of office.

on va peut-être pouvoir sortir la tête du trou.

mardi, juillet 12, 2005

baby blues

ai la fatigue mélancolique: c'est comme ça, y a pas à sortir de là. un aller-retour sur paris dans la journée, trois heures de sommeil: depuis hier, j'écope. dur, dur.

alors quand j'ai été serrer la pogne à Mr T, fraîchement débarqué, pas encore 48 heures au compteur, je devais être aussi vaseux que lui. ça me l'a rendu tout de suite sympathique. lui, petit être tout chaud, moi vaguement scotché par la chaleur.
pour les parents, le branle-bas de combat, l'agitation, un quotidien à redessiner, un rythme à trouver, le sommeil à chérir.

en y repensant, au moment où ça nous arrivera aussi à nous, ai eu un accès de panique: en serai-je encore capable de tout ça? de rajouter un peu de boxon là où il y en a déjà pas mal?

le soir, on a regardé le dvd de sideways. ça allait déjà mieux.

jeudi, juillet 07, 2005

londres

à nouveau, une journée qui a commencé avec un sâle goût dans la bouche.

mercredi, juillet 06, 2005

tour

Un CLM par équipes à du 57 km/h... ça fait rêver.
Terrible d'être journaliste dans ces cas-là: devoir commenter en ayant malgré tout ce doute légitime, cette suspicion inavouable. Ne pas être complètement dupe.

La façon dont Libé parle du Tour, peut agacer: ce ton blasé, genre "à nous, on nous la fait pas". Mais comment écrire sur le vélo après le bordel de ces dernières années?
Et puis, de toutes façons, qu'est-ce que c'est bien torché. C'est sûr, ça vous change de la DH...

ps: d'accord, boonen a perdu aujourd'hui, mais ça ne change rien au fait qu'il est toujours le plus connu des coureurs cyclistes au Japon, juste après Armstrong. (en tout cas, c'est que raconte ce matin de morgen.)


vendredi, juillet 01, 2005

w

rock werchter 2005
2 heures pour y arriver
2 minutes pour se faire tremper.