celophane

C’est l’histoire d’un pâtissier, trotskiste, dans les années 50...

vendredi, juillet 27, 2007

Sex, drugs & lcd soundsystem



“I used to take two ecstasy pills, break them into quarters, and put them on the corners of the two turntables, and work my way through them as a D.J. set went on. I played Donna Summer, Kraftwerk, Public Image Ltd., the Beatles, the Stooges—anything. It really felt like something was happening.”

(extrait d'un portrait de James Murphy, dans le NY Mag)

mercredi, juillet 25, 2007

Zita Swoon (Rivierenhof, 23/07/07)


L'endroit est parfait. Devant la scène du théâtre de verdure, au milieu des arbres, les fontaines du plan d'eau font office de rideau. Au programme, zita swoon. again and again. Et pourtant toujours imparable. Il faut l'entendre, lui voix rauque corps fluet, elles belles en parfait contrepoint, pendant que le clavier fait des merveilles et charge un peu plus la barque. ça tourbillonne et bientôt tout le monde est debout dans les gradins. C'est simple, beau, classe, chaleureux et sexy, tout ça à la fois.
(parfois c'est vrai, le piano est trop propret, et les choeurs trop tout court, on est à la limite, mais ça passe)

quand je suis reparti, la sono a enchaîné "zobi la mouche", "king kong five" et "the magnificent seven". Plus loin, sur le chemin plongé dans l'obscurité, j'ai senti que je shotais dans quelque chose. Quand je me suis retourné, le crapaud avait valsé quelques mètres plus loin

sex, drugs & bicycle


"Quand on voit ça, on a tout en main: le décor, le public, les coureurs...Mais non, on doit être vigilant, faire attention à chaque mot prononcé...
C'est injuste."

Rodrigo Beenkens, en direct tout à l'heure, dans son commentaire de l'étape du col de l'Aubisque

mercredi, juillet 18, 2007

Vous descendez?

"Les gens disent toujours que les endroits comme Starbucks sont impersonnels et tout ça, mais si c'est justement ce que tu cherches, hein? Je serais perdue, moi, si JJ et les gens comme lui l'emportaient, s'il n'y avait plus rien d'impersonnel dans le monde. Je suis contente de savoir qu'il existe de grands endroits sans fenêtres où l'on vous fiche la paix. Il faut avoir rudement confiance pour aller dans de petits endroits fréquentés par des habitués, comme les petites librairies, les petits magasins de disques, les petits restaurants et les petits cafés. Moi je me sens mieux au Virgin Megastore, à Borders, Starbucks ou Pizza Express, où tout le monde s'en fiche et personne ne sait qui tu es. Ma mère et mon vieux sont toujours en train de dire que ces endroits sont sans âme. Alors moi, je réponds: Bah oui, évidemment, c'est fait exprès."

lundi, juillet 16, 2007

Sly and the Family Stone (Blue Note Festival, 14/07)